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Les plateformes d’admission Parcoursup et Mon Master, ont définitivement clôturé les phases d’admission pour l’année universitaire 2023 – 2024.
Les candidats inscrits sur Mon Master avaient jusqu’au 31 août pour tenter d’obtenir l’accès à une formation en Master. De leur côté, les nouveaux bacheliers avaient jusqu’au 12 septembre pour trouver une école via Parcoursup. Hélas, ces phases de sélection se sont achevées avec des résultats mitigés pour de nombreux candidats. Ces derniers étant laissés sans admission, ni proposition d’aucun établissement.
Depuis leur création, les plateformes d’admission ont accumulé de nombreux problèmes, algorithme défaillant, refus successifs, manque de vision globale des outils, oubli d’intégrer une procédure complémentaire… et à la clé pas un seul vœu accepté pour de nombreux étudiants.
Cependant tout n’est pas perdu !
En effet, chez ENACO, première école de commerce à distance, nos 61 formations reconnues par l’État sont accessibles tout au long de l’année… Plus besoin d’attendre une hypothétique procédure complémentaire pour poursuivre ses études dans le supérieur.
L’accès promis à tous à l’enseignement supérieur n’est pas une évidence pour de nombreux étudiants, comme en témoignent les récentes données de Parcoursup et de Mon Master.
Des milliers d’étudiants sans perspective
En juillet dernier, le ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche révélait que plus de 80 000 candidats Parcoursup étaient recalés à la fin de la phase d’admission. Précisément 42 146 lycéens, 25 471 candidats en réorientation et 17 194 lycéens de l’étranger n’avaient pas reçu de réponses positives.
Autres grands perdants, les candidats de la plateforme Mon Master, lancée en février 2023 par le même ministère, ou au moins 11 000 étudiants ont été recalés après les résultats du 31 août dernier. Ici pas de procédure complémentaire, cela n’avait pas été prévu au cahier des charges.Laissant ainsi de nombreux candidats sans formation et sans solution pour l’année universitaire à venir.
Ces chiffres mettent en évidence l’imperfection de ces plateformes qui se targuent de permettre à chacun de trouver sa formation. Elles suscitent bien au contraire frustration et inquiétude.
Pas besoin d’attendre un an pour suivre une des 61 formations diplômantes ou certifiantes d’ENACO, la première école de commerce en ligne en France. La business school, créée en 2006, propose de vous former dans les domaines du commerce, du management, de la gestion, de la finance, du marketing, des RH, de l’immobilier et du tourisme.
Affichant un taux de réussite moyen de 85% en 2022, plus besoin de prouver la solidité de sa méthode pédagogique.
Par ailleurs, ENACO met à disposition de tous ses étudiants un campus numérique accessible 24/24h et 7/7j et pour ne rien gâcher, l’accès à l’ensemble des ressources pédagogiques et au coaching individuel est inclus. Une question, un problème sur un exercice ? Tous les étudiants peuvent prendre un rendez-vous individuel avec leur professeur référent.
Grâce à sa reconnaissance nationale, les formations ENACO sont compatibles avec de nombreuses solutions de financement. Enfin, les frais de scolarité pratiqués restent bien inférieurs à ceux de la plupart des écoles en présentiel.
Délivrés par le ministère de l’Éducation Nationale, ils délivrent un diplôme de niveau 5 (Bac +2 / 120 crédits ECTS), ils bénéficient d’une excellente reconnaissance sur le marché du travail. Ces formations permettent ainsi d’obtenir un diplôme reconnu par l’Etat et les entreprises. Ces formations peuvent être financées via votre CPF, les dispositifs de formation en alternance et de formation professionnelle continue.
Délivrés par la Fédération Européenne des Écoles (FEDE), ces diplômes sont basés sur des formations professionnalisantes et des spécialités variées qui correspondent aux besoins des recruteurs et répondent aux nécessités des entreprises. Ces Bachelors et Mastères permettent l’acquisition de crédits ECTS, un atout majeur pour l’insertion des diplômés dans la poursuite d’études à l’international.
Délivrés par le ministère du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion, les titres professionnels sont inscrits au RNCP et sont donc eux aussi éligibles à différents financements. Répondant aux exigences des entreprises, ils favorisent ainsi l’employabilité et l’insertion professionnelle de leurs détenteurs. Il existe des titres professionnels de niveau 3 (CAP), niveau 4 (Bac/BP), niveau 5 (Bac +2) et niveau 6 (Bac +3/4).
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